Quel est notre façon de mettre en forme notre senbilité, quand un silence devient un écho


Comprendre le projet
Selon Hegel, le mouvement romantique serait le point culminant en ce qui concerne la beauté de l’art, car meilleure représentation de la sensibilité humaine. Si nous devons mettre en parallèle avec les différents facteurs contemporains, que trouvons-nous ? « violence, impatience » : plus nous mettons un accent sur le progrès plus la tolérance à la frustration s’affaiblit ; c’est-à-dire que notre sensation d’espérance s’annihile, et que la dépendance à la dopamine (effet immédiat) s’accroît. Pour citer Fréderico Fellini : « (à propos de l’évolution de l’art visuel) Ça habitue le public à l’arrêt de l’activité cérébrale, à ces petites pauses de l’attention (…). Il devient un être impatient, incapable de concentration, de contemplation, d’anticipation, de la musicalité qui accompagne, du sens de l’harmonie (…). La destruction de toute syntaxe claire aura pour seule conséquence de créer un public analphabète. » nous sommes devenus des êtres sensibles incapables : comment pouvons-nous réparer ce lien ? En analysant, appréciant les œuvres produites jusqu’à maintenant, n’essayerions-nous pas de reconsidérer ces rapports ?
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